Aya Nakamura : la chanson « Pookie » devient un jeu hilarant pour les internautes (Photos)

21 février 2019 à 9h15 par Aurélie Amcn

VIBRATION
Crédit : Aya Nakamura

La chanson « Pookie » d'Aya Nakamura devient virale sur la toile. Les internautes s'en sont inspirés pour en faire un jeu hilarant. Regardez !

Aya Nakamura enchaîne les tubes. Après Comportement, Djadja, Copines ou encore La Dot, c’est désormais la chanson Pookie qui enchante les auditeurs. Depuis que ces derniers ont compris que ce terme signifie « un intrus » ou encore « une balance », ils ont inventé un tout nouveau jeu sur les réseaux sociaux. Le principe est simple : illustrer les paroles de la chanteuse de 23 ans, à savoir « Ferme la porte, t’as le pookie dans l’sas ». 

Pour mener à bien leur nouvelle distraction, les internautes se sont inspirés du rappeur Orelsan, du Pape, de Valérie Pécresse, de memes ou encore de séquences d’émissions de télé-réalité et de vidéos d’anonymes hilarantes. Et on peut dire que l’imagination de certains est vraiment débordante ! De nombreuses publications sont ainsi devenues virales et d’autres ont même été partagées par Aya Nakamura en personne avec des milliers de Likes et autres ReTweets (voir ci-dessous). 

Un nouveau buzz qui ferait presque oublier à la jeune artiste originaire d’Aulnay-sous-Bois sa lassitude face aux questions de certains médias lui demandant continuellement de livrer une définition des termes employés dans ses textes : catchana, djadja, comportement, vrai djo, etc… « Je ne parle pas comme une gogole, pourtant. Y’a des rappeurs, ils inventent bien pire. Ce qui étonne, c’est le fait que je sois une fille ! », s’est-elle récemment agacée dans les colonnes d’un journal français. 

Pour éviter de devenir un dictionnaire ambulant, Aya Nakamura a décidé de révéler l’identité de son fameux « djadja », à savoir « un menteur ». À nos confrères de Paris Match, elle a ainsi confié : « C’est quelqu’un que j’estimais beaucoup et j’ai entendu qu’il faisait circuler de fausses rumeurs sur moi. Au lieu de me confronter à lui, j’ai préféré écrire le titre que vous connaissez. Je ne lui parle plus, mais je ne suis pas sûre que ça lui ait beaucoup plu ». Une petite vengeance qui rapporte gros, très gros à la jeune femme !