Joyce Jonathan publie une photo d'elle enfant ! Elle est méconnaissable ! (Photo)

24 août 2017 à 13h30 par Aurélie Amcn

VIBRATION

Joyce Jonathan fait un beau cadeau à ses fans en publiant une photo d'elle sur Instagram !

Joyce Jonathan n'en finit plus de faire parler d'elle sur les réseaux sociaux. À plusieurs reprises, la chanteuse de 27 ans a inquiété ses fans. La raison ? Sa nouvelle silhouette que bon nombre d'entre eux trouve « trop maigre ». D'ailleurs, il y a quelques jours, en pleine séance de shopping, elle demandait conseil à sa communauté de fans : elle hésitait alors entre deux modèles de maillots de bain. Dans une cabine, face à un miroir, sa minceur avait largement choqué ses admirateurs qui s'étaient empressés de laisser de nombreux commentaires la jugeant « anorexique » et lui conseillant « d'aller se nourrir ».

Mais aujourd'hui, ce n'est pas le poids de Joyce Jonathan qui fait beaucoup de bruit sur la toile. L'interprète de « Ca ira » vient de publier une photo d'elle enfant (ci-dessous). Datant de 1992, le cliché présente une petite Joyce Jonathan au regard noir et aux joues bien joufflues. On remarque également, qu'elle a les yeux légèrement en amande. Elle est méconnaissable ! En légende, la chanteuse écrit d'ailleurs : « Tête de chinoise. Il fut un temps. 1992 ». De leur côté, ses fans évoquent une « photo dossier » ou encore une « mini Mireille Mathieu », tandis que d'autres qualifient leur idole de « poupée » ou encore de « trop mignonne ».

Côté carrière, après s'être exportée à l'international, en Chine précisément où elle a sorti son single « Je ne sais pas », Joyce Jonathan s'apprête aujourd'hui à embrasser une carrière à la télévision. En effet, elle sera très bientôt à l'affiche de la série « Demain nous appartient » sur TF1 aux côtés de la comédienne Ingrid Chauvin et de la chanteuse Lorie. Elle y interprètera le rôle d'Emma, une jeune femme admise aux Urgences après une crise d'asthme. Elle sera ensuite au cœur d'un triangle amoureux…

Tête de chinoise. Il fut un temps, en 1992.

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