Louane : ses confidences touchantes sur son père décédé

12 octobre 2020 à 16h40 par A.L.

VIBRATION
Louane se confie sur ses parents décédés.
Crédit : © Pochette de "Joie de vivre" de Louane

C'est dans un entretien accordé au Figaro que Louane s'est confié sur le décès de ses parents et notamment de celui de son père survenu alors qu'elle n'avait que 16 ans.

Dans une interview consacrée au Figaro publiée le 9 octobre dernier, Louane qui est récemment devenue maman d'une petite Esmée, s'est confiée sans détour sur ses parents emportés tous deux par la maladieUn sujet très intime pour celle qui s'est retrouvée orpheline très tôt. En effet, son père est décédé en 2013 avant son passage dans The Voice, l'émission qui l'a révélée. Un an plus tard, c'est sa maman qui décédait à son tour. 

"J'ai du mal à ne pas pleurer quand je l'entends"

"Mes parents se sont tués à la tâche", a-t-elle raconté au quotidien. L'interprète de Jour 1 s'est notamment souvenue des talents culinaires de son père : "Toutes mes copines voulaient rester. Il cuisinait aussi bien de la carbonade flamande que des kluski, boulettes polonaises et des rissois, croquettes portugaises". C'est avec beaucoup d'émotion qu'elle s'est ensuite confiée sur une chanson qui lui rappelle beaucoup son père : Mistral Gagnant de Renaud. "Il a marqué mon enfance, comme celle de beaucoup d'autres gens du Nord, a-t-elle expliqué. "Mon père était fan, je l'entends encore chanter lors de nos déjeuners de famille. Je ne sais pas si Renaud est conscient du nombre de destins qu'il a accompagnés. Avec lui, j'ai appris une langue à part et fixé des souvenirs intimes. Mistral gagnant est ainsi à la fois ma chanson préférée et celle qu'il m'est le plus difficile d'écouter aujourd'hui que mon père est parti...", a-t-elle lâché très émue.

Pour rappel, la jeune femme s'était déjà livrée lors d'une interview pour le magazine Sept à huit sur TF1. "Ma mère m’a transmis le goût du travail (…) Et mon père avait un cœur énorme, j’espère que je suis comme ça aussi aux yeux des gens, c’est quelque chose que j’espère avoir (...) J’y pense tous les jours, c’est normal. Mais je vis avec. Et je sais qu’ils sont là malgré tout", avait-elle alors déclaré.